Présentation :
Conçue par l'ex-adjudant-chef Olivier, de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est une planche constituée de deux épaisseurs de contreplaqué entre lesquelles des évidemments permettent le passage de fortes lanières de toile :
Dimensions : 1,80 m x 0,80 m x 0,003 m :
Poids : 9 kg.
6 sangles d'immobilisation.
4 poignées de transport.
Possibilités d'emploi :
Cet appareil peut équiper les fourgons qui, à défaut d'ambulances, peuvent servir eux-mêmes au transport d'une victime, le brancard étant disposé entre les banquettes sur les genoux du personnel.
Il permet :
- l'évacuation de blessés, des lieux difficilement accessibles ou inaccessibles aux brancards (excavations
diverses...) ;
- l'immobilisation des victimes ;
- le transport d'une personne suspecte de fracture de la colonne vertébrale ;
- le passage dans les escaliers étroits ;
- le passage direct sans transfert de la victime, à la radiographie, car la planche est perméable aux rayons X:
Ces possibilités s'offrent planche à l’horizontale. Toute manœuvre exigeant une position verticale très inclinée n'est possible qu'avec, en complément, le brancard type "Marine".
Manœuvre :
- transport de la planche seule, possible par un sapeur ;
- chargement de la victime en bout : la victime étant soulevée, en bout, par trois ou quatre sapeurs, la planche
est glissée longitudinalement (latéralement : méthode "à la cuillère") ;
- immobilisation de la victime à l'aide des sangles, en prenant soin d'éviter :
. le glissement ;
. les compressions dangereuses, ou douloureuses ;
- déplacement avec une victime tête vers l'avant par quatre porteurs ;
. transport à bout de bras par les poignées ;
. transport à hauteur des épaules ;
. franchissement d'obstacles suivant la méthode enseignée en brancardage ;
- chargement dans le fourgon :
. 1 sapeur monte dans le fourgon et recule en portant l'extrémité de la planche,
. 2 se placent latéralement et font glisser la planche, le 3° sapeur soutenant l'autre extrémité,
. les porteurs montent ensuite dans le fourgon et la planche est déposée sur les genoux des sapeurs assis face
à face sur les banquettes.
- mise en place de la victime sur un chariot d'hôpital ou un lit,
. faire reposer un côté de la planche sur le chariot ou le bord du lit,
. les deux porteurs ainsi libérés se portent de l'autre côté du chariot ou du lit et tirent la couverture de façon
à faire glisser la victime en la remuant le moins possible.
Le personnel employé est celui du fourgon.
Entretien et vérifications :
Périodiquement :
- nettoyer la planche ;
- vérifier que les faces sont bien lisse ;
- vérifier l'état des sangles.
Conçue par l'ex-adjudant-chef Olivier, de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est une planche constituée de deux épaisseurs de contreplaqué entre lesquelles des évidemments permettent le passage de fortes lanières de toile :
Dimensions : 1,80 m x 0,80 m x 0,003 m :
Poids : 9 kg.
6 sangles d'immobilisation.
4 poignées de transport.
Possibilités d'emploi :
Cet appareil peut équiper les fourgons qui, à défaut d'ambulances, peuvent servir eux-mêmes au transport d'une victime, le brancard étant disposé entre les banquettes sur les genoux du personnel.
Il permet :
- l'évacuation de blessés, des lieux difficilement accessibles ou inaccessibles aux brancards (excavations
diverses...) ;
- l'immobilisation des victimes ;
- le transport d'une personne suspecte de fracture de la colonne vertébrale ;
- le passage dans les escaliers étroits ;
- le passage direct sans transfert de la victime, à la radiographie, car la planche est perméable aux rayons X:
Ces possibilités s'offrent planche à l’horizontale. Toute manœuvre exigeant une position verticale très inclinée n'est possible qu'avec, en complément, le brancard type "Marine".
Manœuvre :
- transport de la planche seule, possible par un sapeur ;
- chargement de la victime en bout : la victime étant soulevée, en bout, par trois ou quatre sapeurs, la planche
est glissée longitudinalement (latéralement : méthode "à la cuillère") ;
- immobilisation de la victime à l'aide des sangles, en prenant soin d'éviter :
. le glissement ;
. les compressions dangereuses, ou douloureuses ;
- déplacement avec une victime tête vers l'avant par quatre porteurs ;
. transport à bout de bras par les poignées ;
. transport à hauteur des épaules ;
. franchissement d'obstacles suivant la méthode enseignée en brancardage ;
- chargement dans le fourgon :
. 1 sapeur monte dans le fourgon et recule en portant l'extrémité de la planche,
. 2 se placent latéralement et font glisser la planche, le 3° sapeur soutenant l'autre extrémité,
. les porteurs montent ensuite dans le fourgon et la planche est déposée sur les genoux des sapeurs assis face
à face sur les banquettes.
- mise en place de la victime sur un chariot d'hôpital ou un lit,
. faire reposer un côté de la planche sur le chariot ou le bord du lit,
. les deux porteurs ainsi libérés se portent de l'autre côté du chariot ou du lit et tirent la couverture de façon
à faire glisser la victime en la remuant le moins possible.
Le personnel employé est celui du fourgon.
Entretien et vérifications :
Périodiquement :
- nettoyer la planche ;
- vérifier que les faces sont bien lisse ;
- vérifier l'état des sangles.
C'est bien l'adjudant chef Olivier, chef de centre Charonne a la 12éme.
RépondreSupprimerCela se passe en 1962/63.
Apres une sortie pour "ouvrier tombé", il a pensé a un moyen de relevage qui permet de ne pas bougé la position de la victime.
De retour au CS , il a cogité a ce matériel, puis toute la caserne a apporté ses idée, alors est sortie "La Planche qui plus tard prendra le nom de " Planche Olivier".
Pour la petite histoire a cette époque jetai sapeur conducteur sous ses ordres.
les sapeurs pompiers du sénégal remercie beaucoup l'adjudant chef olivier et adorent planche olivier nous facilite dans beaucoup de cas sergent tanor brigade national des sapeurs poimpiers du sénégal
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