lundi 9 janvier 2012
jeudi 5 janvier 2012
Collier D'Amarrage Pour Tuyaux de 70.
Accessoire hydraulique utilisé pour amarrer un tuyau de 70 mm en charge le long d'une échelle aérienne.
Nomenclature :
Cercle ouvert, de 75 mm de diamètre intérieur, en fil métallique de 8 mm de diamètre et façonne, à chaque extrémité, en crochet épousant la forme d'un échelon.
Mode d'emploi :
- placer le tuyau, encore vide, à l'intérieur du cercle ;
- accrocher le collier à un échelon, de préférence près d'un montant de l'échelle ;
- la mise en pression du tuyau donne à l'établissement d'une allure ondulatoire ;
Précaution-sécurité :
- bien engager les crochets sur les échelons afin d'éviter le décrochage lors des manipulations des tuyaux, qui
doivent être réduites le plus possible ;
- vérifier périodiquement que l'écartement des crochets n'a pas varié, modifiant le diamètre intérieur du cercle
si nécessaire resserrer ou écarter les deux branches, pour assurer un serrage suffisant du tuyau sous
pression sans l'étrangler cependant.
mardi 3 janvier 2012
Prévention - La Sécurité Contre l'incendie.
La sécurité contre l'incendie est donc un sujet très vaste, qui nécessite une préparation sérieuse, une étude minutieuse de la règlementation émanant de tous les ministères, des connaissances générales de physique, mécanique, chimie, technologie, hydraulique, architecture, médecine, qui ne pouvant être acquises que par un travail soutenu et le désir de se perfectionner.
L'officier de sapeurs-pompiers est appelé à collaborer avec divers services qui font également de la prévention et de la prévision : architecture, Génie rural, Ponts-et-Chaussée, Eaux et Forêts, assurances, police, sécurité sociale.
La police est chargée de faire respecter les prescriptions des commissions de sécurité. Dans certains cas douteux, elle enquête en vue de déterminer si la malveillance est en cause, à cette défaillance de la moralité du sinistré.
La sécurité contre l'incendie est financièrement payante. les compagnies d'assurance ont si bien compris son intérêt qu'elles consentent, sur les primes, des rabais appréciables, pouvant atteindre jusqu'à 50 % voire plus suivant l'état du bâtiment, l'entretien des installations électriques et les moyens de secours dont on dispose.
La prévention et la prévision par les travaux, les servitudes qu'elles demandent aux exploitants, par les dépenses apparemment improductives qu'elles occasionnent, constituent une gène, une entrave, une atteinte à la liberté. C'est ainsi que, dans les grands magasins, les indications "sortie" sont, pour retenir la clientèle, rendues souvent peu apparentes et l'officier de sapeurs-pompiers doit lutter contre cette fâcheuse tendance.
La prévention ne coute rien quand on su l'étudier à temps. C'est avant la construction, au stade des plans, qu'elle est facile à établir et vraiment peu onéreuse. Après la construction, il est plus difficile d'en faire reconnaitre le bien-fondé et de convaincre qu'il est de sont intérêt de se mettre en règle.
Quoi qu'on fasse, la prévention ne sera le plus souvent qu'un compromis entre les exigences de la sécurité et les possibilités de l'exploitation.
L'inspection du Travail et l'officier de sapeurs-pompiers retiendront de la réglementation l'esprit plutôt que la lettre. Sans se montrer tyranniques, ne sauront concilier sécurité et besoin.
En évaluant un risque, ils feront la part des choses entre ce qu'il faut supprimer ou réduire et ce qu'il faut tolérer.
Chaque incendie coûte, en fin de compte, beaucoup plus cher que l'ensemble des dispositions ou des dispositifs qu'une prévoyance conduirait à mettre en place et en oeuvre.
Trop souvent, la sécurité contre l'incendie (qui est une forme d'assurance) n'est reconnue utile qu'après l'incendie.
L'activité obscure et la vigilance de toute personne, responsable de la protection contre l'incendie, trouvent leur récompense dans la satisfaction d'épargner des ruines et de protéger la vie d'autrui.
L'officier de sapeurs-pompiers est appelé à collaborer avec divers services qui font également de la prévention et de la prévision : architecture, Génie rural, Ponts-et-Chaussée, Eaux et Forêts, assurances, police, sécurité sociale.
La police est chargée de faire respecter les prescriptions des commissions de sécurité. Dans certains cas douteux, elle enquête en vue de déterminer si la malveillance est en cause, à cette défaillance de la moralité du sinistré.
La sécurité contre l'incendie est financièrement payante. les compagnies d'assurance ont si bien compris son intérêt qu'elles consentent, sur les primes, des rabais appréciables, pouvant atteindre jusqu'à 50 % voire plus suivant l'état du bâtiment, l'entretien des installations électriques et les moyens de secours dont on dispose.
La prévention et la prévision par les travaux, les servitudes qu'elles demandent aux exploitants, par les dépenses apparemment improductives qu'elles occasionnent, constituent une gène, une entrave, une atteinte à la liberté. C'est ainsi que, dans les grands magasins, les indications "sortie" sont, pour retenir la clientèle, rendues souvent peu apparentes et l'officier de sapeurs-pompiers doit lutter contre cette fâcheuse tendance.
La prévention ne coute rien quand on su l'étudier à temps. C'est avant la construction, au stade des plans, qu'elle est facile à établir et vraiment peu onéreuse. Après la construction, il est plus difficile d'en faire reconnaitre le bien-fondé et de convaincre qu'il est de sont intérêt de se mettre en règle.
Quoi qu'on fasse, la prévention ne sera le plus souvent qu'un compromis entre les exigences de la sécurité et les possibilités de l'exploitation.
L'inspection du Travail et l'officier de sapeurs-pompiers retiendront de la réglementation l'esprit plutôt que la lettre. Sans se montrer tyranniques, ne sauront concilier sécurité et besoin.
En évaluant un risque, ils feront la part des choses entre ce qu'il faut supprimer ou réduire et ce qu'il faut tolérer.
Chaque incendie coûte, en fin de compte, beaucoup plus cher que l'ensemble des dispositions ou des dispositifs qu'une prévoyance conduirait à mettre en place et en oeuvre.
Trop souvent, la sécurité contre l'incendie (qui est une forme d'assurance) n'est reconnue utile qu'après l'incendie.
L'activité obscure et la vigilance de toute personne, responsable de la protection contre l'incendie, trouvent leur récompense dans la satisfaction d'épargner des ruines et de protéger la vie d'autrui.
lundi 2 janvier 2012
Echelles à Coulisse à Deux Plans.
Les échelles à coulisse deux plans servent à faire des attaques de feu ou des sauvetages aux premiers et deuxième étage et à atteindre des toitures peu élevés.
Description
Le deuxième plan est un peu plus étroit que le premier montant munis de bande glissement, portant à leur base des guides qui glissent dans des coulisses pratiquées dans les montants du premier plan. Le premier plan porte à son sommet des guides de plan avec galets, l'échelle est développée au moyen d'une corde reliée à la partie inférieure du deuxième plan et passant dans la poulie fixée à la partie supérieure du premier plan et dans la poulie de la barre d'accouplement des parachutes. Ces derniers peuvent être amenés sous un des échelons du deuxième plan. Ils maintiennent l'échelle déployée.
Nomenclature
Les montants avec leurs guides ou coulisses, leurs bandes de glissement ou leurs guides de plans avec galets, les échelons, les sabots, les griffes, la cordes à poulie, les parachutes avec leur poulie.
Caractéristiques (échelles à coulisse dites "grand modèle") :
- hauteur de l'échelle déployée : 8, 20 m ;
- hauteur de l'échelle reployée : 4,50 m ;
- poids de l'échelle : 37,500 kg (modèle en bois) ;
- largeur de l'échelle : 0,45 m ;
- nombre d'échelons par plan : 15.
L'échelle développée et appuyée peut supporter deux hommes sur le deuxième plan. L'échelle ne peut être employée horizontalement que non développée ; elle peut alors supporter deux hommes.
Dans le cas ou l'on aurait besoin de deux échelles simple, on pourrait dédoubler l'échelle à coulisse.
Description
Le deuxième plan est un peu plus étroit que le premier montant munis de bande glissement, portant à leur base des guides qui glissent dans des coulisses pratiquées dans les montants du premier plan. Le premier plan porte à son sommet des guides de plan avec galets, l'échelle est développée au moyen d'une corde reliée à la partie inférieure du deuxième plan et passant dans la poulie fixée à la partie supérieure du premier plan et dans la poulie de la barre d'accouplement des parachutes. Ces derniers peuvent être amenés sous un des échelons du deuxième plan. Ils maintiennent l'échelle déployée.
Nomenclature
Les montants avec leurs guides ou coulisses, leurs bandes de glissement ou leurs guides de plans avec galets, les échelons, les sabots, les griffes, la cordes à poulie, les parachutes avec leur poulie.
Caractéristiques (échelles à coulisse dites "grand modèle") :
- hauteur de l'échelle déployée : 8, 20 m ;
- hauteur de l'échelle reployée : 4,50 m ;
- poids de l'échelle : 37,500 kg (modèle en bois) ;
- largeur de l'échelle : 0,45 m ;
- nombre d'échelons par plan : 15.
L'échelle développée et appuyée peut supporter deux hommes sur le deuxième plan. L'échelle ne peut être employée horizontalement que non développée ; elle peut alors supporter deux hommes.
Dans le cas ou l'on aurait besoin de deux échelles simple, on pourrait dédoubler l'échelle à coulisse.
dimanche 25 décembre 2011
Feux de Matières plastiques.
Ces feux se caractérisent par le dégagement d'une épaisse fumée et de gaz de combustion très agressifs qui peuvent provoquer de graves intoxications.
La conduite à tenir peut se résumer ainsi :
- essayer, en se renseignant si possible auprès de personnes compétentes de l'établissement sinistré, de connaître au plus tôt la nature des matières plastiques embrasées ou présentes dans l'incendie ;
- pour l'extinction, employer de l'eau, de préférence diffusée, tout en s'inquiétant de savoir si des liquides
inflammables à bas point d'éclair ne se trouvent pas concernés, les lances à mousse ayant alors leur rôle à
jouer ; la mousse à bas ou moyen foisonnement est également très efficace sur les feux de matières
plastiques en masses ;
- ventiler énergiquement dans toute la mesure du possible ;
- utiliser, dès le début de l'action, les appareils respiratoires isolants; Prévoir immédiatement une réserve de
batteries de rechange et un compresseur. Demander, si possible, un médecin.
- ne pas oublier qu'on rencontre souvent des matières plastiques sous forme de poudre dont la dispersion
brutale peut être susceptible de provoquer des explosions ; Il en est de même des particules et poussières
sèches résultant de la manipulation ou du travail sur des matières plastiques.
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