dimanche 22 juillet 2012
samedi 21 juillet 2012
vendredi 20 juillet 2012
Evanouissement
L'évanouissement est dû à un ralentissement temporaire de la circulation du sang dans le cerveau. La peur, l'émotion, la vue du sang en sont les causes habituellement.
La syncope, résulte d'un arrêt du coeur.
Soins :
Evanouissement :
- sur le dos, tête basse ;
- jambes verticales ;
- inhalation d'ammoniaque ou de sels anglais.
Syncope :
- position de la victime sur le dos, strictement horizontale ;
- ventilation artificielle ;
- appeler le médecin.
La syncope, résulte d'un arrêt du coeur.
Soins :
Evanouissement :
- sur le dos, tête basse ;
- jambes verticales ;
- inhalation d'ammoniaque ou de sels anglais.
Syncope :
- position de la victime sur le dos, strictement horizontale ;
- ventilation artificielle ;
- appeler le médecin.
dimanche 8 juillet 2012
L'Officier de Permanence des Compagnies d'Incendie.
La permanence des compagnies d'incendie (présence en toute circonstance d'un officier à l'unité ou sur les interventions est assurée par le commandant de compagnie ou l'officier le plus ancien.
Compétent sur l'ensemble du secteur de l'unité, il se rend obligatoirement sur les interventions dans les cas suivants :
- nombreux appels :
- lorsqu'un chef de garde demande :
. moyens de renforcement ;
. "renforts (incendie, commandement) ;
. deux petites lances et plus ;
. intervention ayant entraîné une ou plusieurs victimes (personnels de la brigade ou civils) ;
. intervention dans un établissement répertorie (type R et A), un édifice public, une ambassade, chez
une personnalité publique ;
. engin explosif suspect ;
. chute d'avion, accident de chemin de fer ,
. opération de longue, délicate, difficile ou dangereuse ;
. départ normal sans chef de garde ;
. fuite de gaz de ville avec engin-pompe sans chef de garde ;
Il se rend à son initiative sur les interventions lorsqu'il juge que sa présence est nécessaire notamment :
- lorsqu'un chef de détachement ou d'agrès éprouve des difficultés ou manifeste de l'inquiétude ;
- pour toute autre intervention particulière.
L'officier de permanence se munit des matériels légers (poste-radio, porte-voix, explosimétre, etc,) ou des documents qu'il juge utiles sur l'intervention (plan des canalisations et des points d'eau aménagés, plan du secteur, etc.).
(1) En cas d'absence de longue durée, un troisième officier assure cette permanence. .
Compétent sur l'ensemble du secteur de l'unité, il se rend obligatoirement sur les interventions dans les cas suivants :
- nombreux appels :
- lorsqu'un chef de garde demande :
. moyens de renforcement ;
. "renforts (incendie, commandement) ;
. deux petites lances et plus ;
. intervention ayant entraîné une ou plusieurs victimes (personnels de la brigade ou civils) ;
. intervention dans un établissement répertorie (type R et A), un édifice public, une ambassade, chez
une personnalité publique ;
. engin explosif suspect ;
. chute d'avion, accident de chemin de fer ,
. opération de longue, délicate, difficile ou dangereuse ;
. départ normal sans chef de garde ;
. fuite de gaz de ville avec engin-pompe sans chef de garde ;
Il se rend à son initiative sur les interventions lorsqu'il juge que sa présence est nécessaire notamment :
- lorsqu'un chef de détachement ou d'agrès éprouve des difficultés ou manifeste de l'inquiétude ;
- pour toute autre intervention particulière.
L'officier de permanence se munit des matériels légers (poste-radio, porte-voix, explosimétre, etc,) ou des documents qu'il juge utiles sur l'intervention (plan des canalisations et des points d'eau aménagés, plan du secteur, etc.).
(1) En cas d'absence de longue durée, un troisième officier assure cette permanence. .
samedi 7 juillet 2012
Compression des membres
Victime dont les membres sont restés coincés longtemps sous les décombres, un camion, un wagon...
Dégagée, elle manifeste peu de temps après, un état de choc qui, traité, s’améliore.
Puis, apparaissent des signes d'insuffisance rénale (urines rares et rouges). Cette insuffisance est due à l'obstruction des reins par des substances toxiques provenant des muscles meurtris, ce qui conduit à un empoisonnement du sang : l'urémie.
La conduite à tenir est la suivante :
. Avant le dégagement poser un lien solidement serré (c'est-à-dire arrêtant seulement la circulation veineuse) au-dessus de la région comprimée.
. Faire boire à la victime une solution alcaline : 4 cuillerées à café, de bicarbonate de soude par litre d'eau.
A n'administrer qu'en cas d'évacuation tardive, de victime consciente et l'éloignement du médecin.
. Ne pas réchauffer le membre.
Les dangers directs qui menacent dans une compression de membre :
- dans l'immédiat : l'accident de levée du garrot ;
- dans l'heure qui suit : l'état de choc ;
Compression vraie supérieure à une demi-heure - garrot serré modérément.
Dans tous les cas, faire hospitaliser la victime.
Dégagée, elle manifeste peu de temps après, un état de choc qui, traité, s’améliore.
Puis, apparaissent des signes d'insuffisance rénale (urines rares et rouges). Cette insuffisance est due à l'obstruction des reins par des substances toxiques provenant des muscles meurtris, ce qui conduit à un empoisonnement du sang : l'urémie.
La conduite à tenir est la suivante :
. Avant le dégagement poser un lien solidement serré (c'est-à-dire arrêtant seulement la circulation veineuse) au-dessus de la région comprimée.
. Faire boire à la victime une solution alcaline : 4 cuillerées à café, de bicarbonate de soude par litre d'eau.
A n'administrer qu'en cas d'évacuation tardive, de victime consciente et l'éloignement du médecin.
. Ne pas réchauffer le membre.
Les dangers directs qui menacent dans une compression de membre :
- dans l'immédiat : l'accident de levée du garrot ;
- dans l'heure qui suit : l'état de choc ;
Compression vraie supérieure à une demi-heure - garrot serré modérément.
Dans tous les cas, faire hospitaliser la victime.
mercredi 4 juillet 2012
lundi 2 juillet 2012
vendredi 29 juin 2012
jeudi 28 juin 2012
Feu de Forêts - Organisation Tactique
Dès le début des opérations, les efforts du chef de détachement doivent tendre à diminuer la largeur du front du feu, si possible à l'endroit le plus sensible (pointe du feu) en attendant l'arrivée des renforts qui effectueront l'attaque du pourtour et des ailes.
Le chef de détachement doit également se préoccuper :
- en permanence, du ravitaillement en eau des moyens mis en œuvre (recherche des points d'eau, organisation des navettes d'engins-pompes) ;
- de la protection des habitations menacées ;
- de préparer une ligne d'arrêt sous le vent, si possible appuyée par un pare-feu naturel, et couverte par de
solides moyens d'extinction ;
- des liaisons radio avec les éléments engagés.
L'appréciation de l'ampleur du sinistre, de son contour et de ses possibilités de propagation est effectuée en se plaçant sur des points hauts grandes échelles, tour de guet ou mieux en utilisant l'hélicoptère.
Si l'incendie a pris rapidement de l'importance, il y a lieu de prévoir dès le début les renforts en moyens lourds et les relèves nécessaires.
Quand le feu est circonscrit et que sa progression est enrayée, il faut s'assurer de l'extinction totale d'une zone aussi large que possible sur l'ensemble du périmètre incendié, afin d'éviter toute reprise du feu.
Un service de surveillance sera toujours laissé sur place au départ des secours.
Le chef de détachement doit également se préoccuper :
- en permanence, du ravitaillement en eau des moyens mis en œuvre (recherche des points d'eau, organisation des navettes d'engins-pompes) ;
- de la protection des habitations menacées ;
- de préparer une ligne d'arrêt sous le vent, si possible appuyée par un pare-feu naturel, et couverte par de
solides moyens d'extinction ;
- des liaisons radio avec les éléments engagés.
L'appréciation de l'ampleur du sinistre, de son contour et de ses possibilités de propagation est effectuée en se plaçant sur des points hauts grandes échelles, tour de guet ou mieux en utilisant l'hélicoptère.
Si l'incendie a pris rapidement de l'importance, il y a lieu de prévoir dès le début les renforts en moyens lourds et les relèves nécessaires.
Quand le feu est circonscrit et que sa progression est enrayée, il faut s'assurer de l'extinction totale d'une zone aussi large que possible sur l'ensemble du périmètre incendié, afin d'éviter toute reprise du feu.
Un service de surveillance sera toujours laissé sur place au départ des secours.
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