mercredi 20 janvier 2016
mardi 19 janvier 2016
vendredi 15 janvier 2016
mercredi 6 janvier 2016
mardi 22 décembre 2015
Comportement du jeune conducteur
1) - Jeunes conducteurs vous êtes plus sensibles à
l'éblouissement et à la fatigue que les autres usagers. Ne surestimez
pas vos possibilités.
Anciens conducteurs, beaucoup d'accidents sont causés par l'ignorance des nouvelles règles du Code de la route, en particulier la signalisation et la priorité. Assurez-vous que vous les connaissez.
2) - Ne croyez pas que vos "réflexes" soient meilleurs avec une petite dose d'alcool ; ils sont au contraire diminués et celui qui manque d'habitude est aussi dangereux que le buveur entraîné.
Méditez ces chiffres :
- pour 1 g d'alcool pour litre de sang, le risque d'accident est 6 fois plus grand qu'à jeun.
- avec,1 5 g le risque est multiplié par 20.
- avec 2 g par 60.
3) - Sur une route fraîchement gravillonnée, ne dépassez pas 50 km/h.
C'est votre propre vitesse qui est responsable du bris de votre pare-brise.
4) - Si vous choisissez un véhicule de couleur vive, vous serez mieux vu et vous serez vu plus tôt. Votre sécurité en sera accrue.
5) - L'arrêt en cours de route est une pratique saine et utile. Mais il ne suffit pas de s'arrêter pour se remettre en forme. Après un long parcours, l'air des poumons est vicié, les articulations sont gagnées par l'ankylose. Ce qu'il faut donc, c'est du mouvement et de l'air. Il faut aussi boire de l'eau (l'eau est anti-fatigue).
6) - Conduire vite fatigue beaucoup le cœur. Ne vous forcez pas, conduisez en souplesse. Chaque difficulté de conduite fait faire un bond à la fréquence cardiaque. Dans certaines situations, celle-ci peut arriver à doubler par rapport au repos.
Adaptez vous-même votre vitesse au niveau de trafic que vous rencontrez. Si vous choisissez une vitesse facile à maintenir, vous épargnerez à votre cœur et à vos artères une fatigue inutile et stérile.
7) - En traversant une ville encombrée, vous ne pouvez abolir ni les feux rouges, ni les encombrements. Si vous essayez de réaliser une forte moyenne, votre véhicule n'ira pas plus vite, mais votre, cœur, lui accélérera à fond.
Au contraire, le simple fait d'accepter une vitesse réduite vous procurera :
- une diminution de fatigue importante ;
- un gain de sécurité.
8) - Tout ce qui précède s'applique au problème de dépassement.
Lorsque le dépassement est difficile :
- soit que la vitesse du véhicule à dépasser vous entraîne à atteindre une vitesse supérieure à celle dont vous avez l'habitude ;
- soit que les conditions de circulation ou de visibilité puissent mettre en cause le succès de votre manœuvre.
Votre rythme cardiaque s'accroit fortement, ce qui vous place dans une situation physiologique défavorable et parfois dangereuse.
Un second facteur défavorable intervient également. Le délai qui vous est nécessaire pour prendre une décision augmente et vous risquez de vous décider trop tard pour dépasser sans danger.
Donc, si vous avez le moindre doute, n'essayez pas de dépasser.
9) - Beaucoup de conducteurs roulent sans regarder leur compteur, appréciant leur vitesse à partir du cadre extérieur qu'ils traversent ou du bruit du moteur. Or, le cadre extérieur se modifie sans cesse et le bruit du moteur varie selon la charge et le profil de la route. Il en résulte de fortes erreurs d'appréciation de la vitesse elle-même, responsables de fautes de conduite.
Surveillez votre compteur.
Anciens conducteurs, beaucoup d'accidents sont causés par l'ignorance des nouvelles règles du Code de la route, en particulier la signalisation et la priorité. Assurez-vous que vous les connaissez.
2) - Ne croyez pas que vos "réflexes" soient meilleurs avec une petite dose d'alcool ; ils sont au contraire diminués et celui qui manque d'habitude est aussi dangereux que le buveur entraîné.
Méditez ces chiffres :
- pour 1 g d'alcool pour litre de sang, le risque d'accident est 6 fois plus grand qu'à jeun.
- avec,1 5 g le risque est multiplié par 20.
- avec 2 g par 60.
3) - Sur une route fraîchement gravillonnée, ne dépassez pas 50 km/h.
C'est votre propre vitesse qui est responsable du bris de votre pare-brise.
4) - Si vous choisissez un véhicule de couleur vive, vous serez mieux vu et vous serez vu plus tôt. Votre sécurité en sera accrue.
5) - L'arrêt en cours de route est une pratique saine et utile. Mais il ne suffit pas de s'arrêter pour se remettre en forme. Après un long parcours, l'air des poumons est vicié, les articulations sont gagnées par l'ankylose. Ce qu'il faut donc, c'est du mouvement et de l'air. Il faut aussi boire de l'eau (l'eau est anti-fatigue).
6) - Conduire vite fatigue beaucoup le cœur. Ne vous forcez pas, conduisez en souplesse. Chaque difficulté de conduite fait faire un bond à la fréquence cardiaque. Dans certaines situations, celle-ci peut arriver à doubler par rapport au repos.
Adaptez vous-même votre vitesse au niveau de trafic que vous rencontrez. Si vous choisissez une vitesse facile à maintenir, vous épargnerez à votre cœur et à vos artères une fatigue inutile et stérile.
7) - En traversant une ville encombrée, vous ne pouvez abolir ni les feux rouges, ni les encombrements. Si vous essayez de réaliser une forte moyenne, votre véhicule n'ira pas plus vite, mais votre, cœur, lui accélérera à fond.
Au contraire, le simple fait d'accepter une vitesse réduite vous procurera :
- une diminution de fatigue importante ;
- un gain de sécurité.
8) - Tout ce qui précède s'applique au problème de dépassement.
Lorsque le dépassement est difficile :
- soit que la vitesse du véhicule à dépasser vous entraîne à atteindre une vitesse supérieure à celle dont vous avez l'habitude ;
- soit que les conditions de circulation ou de visibilité puissent mettre en cause le succès de votre manœuvre.
Votre rythme cardiaque s'accroit fortement, ce qui vous place dans une situation physiologique défavorable et parfois dangereuse.
Un second facteur défavorable intervient également. Le délai qui vous est nécessaire pour prendre une décision augmente et vous risquez de vous décider trop tard pour dépasser sans danger.
Donc, si vous avez le moindre doute, n'essayez pas de dépasser.
9) - Beaucoup de conducteurs roulent sans regarder leur compteur, appréciant leur vitesse à partir du cadre extérieur qu'ils traversent ou du bruit du moteur. Or, le cadre extérieur se modifie sans cesse et le bruit du moteur varie selon la charge et le profil de la route. Il en résulte de fortes erreurs d'appréciation de la vitesse elle-même, responsables de fautes de conduite.
Surveillez votre compteur.
dimanche 20 décembre 2015
Planche Olivier
Présentation :
Conçue par l'ex-adjudant-chef Olivier, de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est une planche constituée de deux épaisseurs de contreplaqué entre lesquelles des évidemments permettent le passage de fortes lanières de toile :
Dimensions : 1,80 m x 0,80 m x 0,003 m :
Poids : 9 kg.
6 sangles d'immobilisation.
4 poignées de transport.
Possibilités d'emploi :
Cet appareil peut équiper les fourgons qui, à défaut d'ambulances, peuvent servir eux-mêmes au transport d'une victime, le brancard étant disposé entre les banquettes sur les genoux du personnel.
Il permet :
- l'évacuation de blessés, des lieux difficilement accessibles ou inaccessibles aux brancards (excavations
diverses...) ;
- l'immobilisation des victimes ;
- le transport d'une personne suspecte de fracture de la colonne vertébrale ;
- le passage dans les escaliers étroits ;
- le passage direct sans transfert de la victime, à la radiographie, car la planche est perméable aux rayons X:
Ces possibilités s'offrent planche à l’horizontale. Toute manœuvre exigeant une position verticale très inclinée n'est possible qu'avec, en complément, le brancard type "Marine".
Manœuvre :
- transport de la planche seule, possible par un sapeur ;
- chargement de la victime en bout : la victime étant soulevée, en bout, par trois ou quatre sapeurs, la planche
est glissée longitudinalement (latéralement : méthode "à la cuillère") ;
- immobilisation de la victime à l'aide des sangles, en prenant soin d'éviter :
. le glissement ;
. les compressions dangereuses, ou douloureuses ;
- déplacement avec une victime tête vers l'avant par quatre porteurs ;
. transport à bout de bras par les poignées ;
. transport à hauteur des épaules ;
. franchissement d'obstacles suivant la méthode enseignée en brancardage ;
- chargement dans le fourgon :
. 1 sapeur monte dans le fourgon et recule en portant l'extrémité de la planche,
. 2 se placent latéralement et font glisser la planche, le 3° sapeur soutenant l'autre extrémité,
. les porteurs montent ensuite dans le fourgon et la planche est déposée sur les genoux des sapeurs assis face
à face sur les banquettes.
- mise en place de la victime sur un chariot d'hôpital ou un lit,
. faire reposer un côté de la planche sur le chariot ou le bord du lit,
. les deux porteurs ainsi libérés se portent de l'autre côté du chariot ou du lit et tirent la couverture de façon
à faire glisser la victime en la remuant le moins possible.
Le personnel employé est celui du fourgon.
Entretien et vérifications :
Périodiquement :
- nettoyer la planche ;
- vérifier que les faces sont bien lisse ;
- vérifier l'état des sangles.
Conçue par l'ex-adjudant-chef Olivier, de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est une planche constituée de deux épaisseurs de contreplaqué entre lesquelles des évidemments permettent le passage de fortes lanières de toile :
Dimensions : 1,80 m x 0,80 m x 0,003 m :
Poids : 9 kg.
6 sangles d'immobilisation.
4 poignées de transport.
Possibilités d'emploi :
Cet appareil peut équiper les fourgons qui, à défaut d'ambulances, peuvent servir eux-mêmes au transport d'une victime, le brancard étant disposé entre les banquettes sur les genoux du personnel.
Il permet :
- l'évacuation de blessés, des lieux difficilement accessibles ou inaccessibles aux brancards (excavations
diverses...) ;
- l'immobilisation des victimes ;
- le transport d'une personne suspecte de fracture de la colonne vertébrale ;
- le passage dans les escaliers étroits ;
- le passage direct sans transfert de la victime, à la radiographie, car la planche est perméable aux rayons X:
Ces possibilités s'offrent planche à l’horizontale. Toute manœuvre exigeant une position verticale très inclinée n'est possible qu'avec, en complément, le brancard type "Marine".
Manœuvre :
- transport de la planche seule, possible par un sapeur ;
- chargement de la victime en bout : la victime étant soulevée, en bout, par trois ou quatre sapeurs, la planche
est glissée longitudinalement (latéralement : méthode "à la cuillère") ;
- immobilisation de la victime à l'aide des sangles, en prenant soin d'éviter :
. le glissement ;
. les compressions dangereuses, ou douloureuses ;
- déplacement avec une victime tête vers l'avant par quatre porteurs ;
. transport à bout de bras par les poignées ;
. transport à hauteur des épaules ;
. franchissement d'obstacles suivant la méthode enseignée en brancardage ;
- chargement dans le fourgon :
. 1 sapeur monte dans le fourgon et recule en portant l'extrémité de la planche,
. 2 se placent latéralement et font glisser la planche, le 3° sapeur soutenant l'autre extrémité,
. les porteurs montent ensuite dans le fourgon et la planche est déposée sur les genoux des sapeurs assis face
à face sur les banquettes.
- mise en place de la victime sur un chariot d'hôpital ou un lit,
. faire reposer un côté de la planche sur le chariot ou le bord du lit,
. les deux porteurs ainsi libérés se portent de l'autre côté du chariot ou du lit et tirent la couverture de façon
à faire glisser la victime en la remuant le moins possible.
Le personnel employé est celui du fourgon.
Entretien et vérifications :
Périodiquement :
- nettoyer la planche ;
- vérifier que les faces sont bien lisse ;
- vérifier l'état des sangles.
lundi 14 décembre 2015
Cordage armé de 20 m
Le
cordage de 20 m, en chanvre, armé de fils d'acier, à 20 mm de diamètre,
il est terminé à chacune de ses extrémités par un anneau. Les épissures
sont recouvertes de basane.
Quand il est roulé, le cordage se porte en bandoulière. Il peut aussi être transporté dans un sac spécialement réalisé à cet effet, avec bretelles laissant au sapeur l'entière liberté de ses bras.
Manœuvre :
1° Enrouler le cordage
Doubler le cordage, passer la boucle ouverte sous le pied et enrouler de dedans en dehors le cordage doublé, les brins tendus, en le faisant passer alternativement sous le pied et sur l'avant-bras du même côté placé à 60 cm au dessus du pied ; continuer ainsi jusqu'à ce qu'il ne reste plus que 3 cm de cordage environ. Saisir les deux brins avec la main droite et enrouler en écartant l'un de l'autre au fur et à mesure de l'enroulement, autour de la partie du cordage déjà roulée. Passer ensuite chaque brin dans le milieu des boucles et réunir les deux brins par un nœud droit.
2° Dérouler le cordage
Défaire le nœud droit et dégager l'un et l'autre brins des boucles : dérouler le cordage en saisissant une extrémité dans chaque main et séparer les brins.
Caractéristiques :
- poids : 9,500 kg ;
- résistance à la rupture : 4.000 kg ;
- travail normal maximum : 800 kg.
Essais :
Le cordage à essayer est fixé par une extrémité (anneau, ou nœud coulant dans le cas du cordage de manutention à l'attache remorque du fourgon armant le C.S (frein à main serré et cales de roues mises à l'arrière des roues ou dans un nœud coulant pour le cordage de manutention. Huit hommes exercent une traction sans saccades sur la grande pince. Les hommes également répartis de part et d'autre de la grande pince sont munis de gants de travail. Les deux hommes en position centrale maintiennent solidement l'anneau ou le nœud coulant pour éviter son glissement sur la grande pince.
Observations :
Le cordage de manutention est confectionné à partir de cordages de sauvetage réformés. Il comporte une ou plusieurs épissures.
Il doit être nettement différencié. Pour cela, on supprime généralement anneau et porte-mousqueton des extrémités qui sont arrêtées par une surflure.
Ce cordage ne doit pas être employé pour le sauvetages ou pour amarrer les gradés ou sapeurs. Il est réservé aux manœuvres de force et interventions diverses (amarrage de véhicules tombés dans un cours d'eau, cheminées ou enseignes menaçant de tomber, ...).
B - Cordages Non Armés
Le cordage armé est maintenant généralement remplacé par un cordage non armé, de 20 à 25 mm de diamètre, en chanvre, manille, cisal ou nylon présentant les mêmes qualités de résistance à la rupture.
Quand il est roulé, le cordage se porte en bandoulière. Il peut aussi être transporté dans un sac spécialement réalisé à cet effet, avec bretelles laissant au sapeur l'entière liberté de ses bras.
Manœuvre :
1° Enrouler le cordage
Doubler le cordage, passer la boucle ouverte sous le pied et enrouler de dedans en dehors le cordage doublé, les brins tendus, en le faisant passer alternativement sous le pied et sur l'avant-bras du même côté placé à 60 cm au dessus du pied ; continuer ainsi jusqu'à ce qu'il ne reste plus que 3 cm de cordage environ. Saisir les deux brins avec la main droite et enrouler en écartant l'un de l'autre au fur et à mesure de l'enroulement, autour de la partie du cordage déjà roulée. Passer ensuite chaque brin dans le milieu des boucles et réunir les deux brins par un nœud droit.
2° Dérouler le cordage
Défaire le nœud droit et dégager l'un et l'autre brins des boucles : dérouler le cordage en saisissant une extrémité dans chaque main et séparer les brins.
Caractéristiques :
- poids : 9,500 kg ;
- résistance à la rupture : 4.000 kg ;
- travail normal maximum : 800 kg.
Essais :
Le cordage à essayer est fixé par une extrémité (anneau, ou nœud coulant dans le cas du cordage de manutention à l'attache remorque du fourgon armant le C.S (frein à main serré et cales de roues mises à l'arrière des roues ou dans un nœud coulant pour le cordage de manutention. Huit hommes exercent une traction sans saccades sur la grande pince. Les hommes également répartis de part et d'autre de la grande pince sont munis de gants de travail. Les deux hommes en position centrale maintiennent solidement l'anneau ou le nœud coulant pour éviter son glissement sur la grande pince.
Observations :
Le cordage de manutention est confectionné à partir de cordages de sauvetage réformés. Il comporte une ou plusieurs épissures.
Il doit être nettement différencié. Pour cela, on supprime généralement anneau et porte-mousqueton des extrémités qui sont arrêtées par une surflure.
Ce cordage ne doit pas être employé pour le sauvetages ou pour amarrer les gradés ou sapeurs. Il est réservé aux manœuvres de force et interventions diverses (amarrage de véhicules tombés dans un cours d'eau, cheminées ou enseignes menaçant de tomber, ...).
B - Cordages Non Armés
Le cordage armé est maintenant généralement remplacé par un cordage non armé, de 20 à 25 mm de diamètre, en chanvre, manille, cisal ou nylon présentant les mêmes qualités de résistance à la rupture.
jeudi 10 décembre 2015
Gaz de serre
Les gaz à effet de serre émis par les activités humaines sont bien la cause du réchauffement climatique. Les émissions de CO2 représentent 70% de ces gaz. Quand l'effet de serre augmente, les températures aussi.
L'effet de serre est absolument indispensable à la vie sur terre.
En
effet la planète reçoit l'ensemble de son énergie des rayonnements
solaires. Une part de cette énergie est directement absorbée. Une autre,
réfléchie par la surface terrestre, est renvoyée sous forme d'un
rayonnement infra-rouge vers l'espace.
Grâce aux gaz à effet de serre présent naturellement dans l'atmosphère principalement (la vapeur d'eau, le dioxyde de carbone et le méthane), la chaleur du soleil est partiellement retenue et contribue à maintenir à une température moyenne de 15° C propice à la vie sur terre. Mais du fait des activités humaines, les concentrations de dioxyde de carbone (combustion des énergies des ruminants, des rizières, etc) ne cessent d'augmenter.
En cause la consommation d'énergie, mais aussi de la déforestation et l'agriculture. Et la durée de vie de ces gaz dans l'atmosphère est très longue, contrairement à celle de la vapeur d'eau. Résultat : l'écran qui retient la chaleur se densifie. Celle-ci est prise au piège comme dans une voiture en plein soleil, toutes les vitres fermées, la température de la planète augmente. Pour arrêter ce processus, il est urgent d'agir.
dimanche 6 décembre 2015
Rôle du secouriste dans la prévention des accidents
De par les connaissances qu'il a acquis et l'expérience qu'il a retiré de ses interventions, le secouriste peut appliquer et doit faire connaître autour de lui un certain nombre de règles de prévention, utiles et souvent indispensables.
Il ne doit jamais perdre de vue que "Prévenir est un objectif moral plus élevé que guérir" ; les actions préventives sont souvent plus efficaces que les actions curatives qui connaissent des limites dans certains domaines".
La formation qu'il a reçu a permis au secouriste de s'initier à la genèse et au développement :
- d'accidents de toute nature ;
- d'intoxications ;
- de certaines maladies ;
Il lui appartient donc, d'informer, de persuader et de rendre les membres de sa famille et de sa communauté plus conscients du rôle qu'ils peuvent jouer dans la protection de leur propre santé.
Il pourra le faire :
- au niveau familial, en appliquant et en faisant appliquer autour de lui les règles essentielles de prévention et d'hygiène, les vaccinations obligatoires ;
- au niveau de son travail ou de la voie publique, en contribuant à généraliser l'initiation aux gestes élémentaires de survie, en appliquant strictement les règles de sécurité du travail ou de sécurité routière et en veillant à leur application par son entourage habituel ou occasionnel.
La prévention de l'incendie, des accidents de travail, des accidents de la route, des accidents de loisirs et surtout des accidents domestiques, doit rester pour le secouriste une préoccupation majeure et de tous les instants. Quelques minutes d'intervention, mais des heures de mesures préventives destinées à les éviter dans une grande partie des cas, tel est le programme d'action du secourisme.
jeudi 3 décembre 2015
L'officier de permanence
La
permanence des compagnies d'incendie (présence en toute circonstance
d'un officier à l'unité ou sur les interventions est assurée par le
commandant de compagnie ou l'officier le plus ancien.
Compétent sur l'ensemble du secteur de l'unité, il se rend obligatoirement sur les interventions dans les cas suivants :
- nombreux appels :
- lorsqu'un chef de garde demande :
. moyens de renforcement ;
. "renforts (incendie, commandement) ;
. deux petites lances et plus ;
. intervention ayant entraîné une ou plusieurs victimes (personnels de la brigade ou civils) ;
. intervention dans un établissement répertorie (type R et A), un édifice public, une ambassade, chez
une personnalité publique ;
. engin explosif suspect ;
. chute d'avion, accident de chemin de fer ,
. opération de longue, délicate, difficile ou dangereuse ;
. départ normal sans chef de garde ;
. fuite de gaz de ville avec engin-pompe sans chef de garde ;
Il se rend à son initiative sur les interventions lorsqu'il juge que sa présence est nécessaire notamment :
- lorsqu'un chef de détachement ou d'agrès éprouve des difficultés ou manifeste de l'inquiétude ;
- pour toute autre intervention particulière.
L'officier de permanence se munit des matériels légers (poste-radio, porte-voix, explosimétre, etc,) ou des documents qu'il juge utiles sur l'intervention (plan des canalisations et des points d'eau aménagés, plan du secteur, etc.).
(1) En cas d'absence de longue durée, un troisième officier assure cette permanence. .
Compétent sur l'ensemble du secteur de l'unité, il se rend obligatoirement sur les interventions dans les cas suivants :
- nombreux appels :
- lorsqu'un chef de garde demande :
. moyens de renforcement ;
. "renforts (incendie, commandement) ;
. deux petites lances et plus ;
. intervention ayant entraîné une ou plusieurs victimes (personnels de la brigade ou civils) ;
. intervention dans un établissement répertorie (type R et A), un édifice public, une ambassade, chez
une personnalité publique ;
. engin explosif suspect ;
. chute d'avion, accident de chemin de fer ,
. opération de longue, délicate, difficile ou dangereuse ;
. départ normal sans chef de garde ;
. fuite de gaz de ville avec engin-pompe sans chef de garde ;
Il se rend à son initiative sur les interventions lorsqu'il juge que sa présence est nécessaire notamment :
- lorsqu'un chef de détachement ou d'agrès éprouve des difficultés ou manifeste de l'inquiétude ;
- pour toute autre intervention particulière.
L'officier de permanence se munit des matériels légers (poste-radio, porte-voix, explosimétre, etc,) ou des documents qu'il juge utiles sur l'intervention (plan des canalisations et des points d'eau aménagés, plan du secteur, etc.).
(1) En cas d'absence de longue durée, un troisième officier assure cette permanence. .
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